Tables :
Louis Astruc : Avans lou darrié poutoun. Théodore Aubanel : La Sereno. Frédéric Bataille : La Pervenche. La Toussaint. Le Jour des Morts. Maurice Bouchor : Paysage. Hippolyte Buffenoir : Vers glissés dans des roses. Robert Caze : Choses de la Rue. Léon Cladel : La Montagne. Si douce qu'elle soit. Garibaldi à ses vélites. Auguste Creissels : La Mort du coq. La Louve. Vae Victis ! Le Four. A.-B. Crousillat : A une Dame. Hippolyte Devillers : Ardor. Remembrance. Au Désert. Deux Enfances (1). Camille Delthil : Barbès. Alfred des Essarts : Le Pont. Emmanuel des Essarts : Minturnes. L'Abbé Fauchet. Estieu (Prosper l'Eté) : Bientôt Père ! Conseils d'un Bourgeois. Père ! A l'Abattoir. Matin de Mai. Soir de Juin. Irréligion. Le Dernier Gueux. Bibliographie. François Fabié : Le Mésange. Auguste Fouré : Le Viellard et l'Enfant. La Fête de Victor Hugo aux champs. Siesto. La Récureuse. L'Ausis. Hercule nu. Les Blés. La Mort du sapin. Bibliographie. Au Labour. Un Mot. Amélie Gex : Sonnet. Félix Gras : Lou Rèi di Sarrasin. Constant Hennion : Le Trompette. Nancy Mary Lafon : Excelsior ! Mary Lafon : La Destinée universelle. Alfred Leconte : Aux Poètes modernes. Jean Lombard : Le Bois géant. Julien Lugol : Puissance de l'homme. Le Chant de l'alouette latine. La conscience est libre. Camille Macaigne : Paysage. Invitation sylvestre. Achille Maffre de Baugé : La Chasse. A Madame***. La Cruche cassée. Souvenirs de Musset. Chanson. Jean Magistre : Bibliographie. Gabriel Marc : Ballade des Cantadors. Rémy Marcelin : S'aviéu d'alo. Alfred de Martonne : Doute. Marius Poulet : Sylvie. Ernest Prarond : L'Escalier. Louis-Xavier de Ricard : A-n-una Bruneta. Lydie de Ricard : Riez bien les frais innocents ! Hortense Rolland : A Victor Hugo. Le Hameau du Bouquet. Aux Lectrices de la Poésie Moderne. Joséphin Soulary : La Jeune Fille à la Cage. Alphonse Tavan : L'Autounado. Edmond Thiaudière : Mortis Amor. Rondeau à l'auteur du Coumpousitou. De la Cendre ! Jules Troubat : Souvenir de l'année 1858. L'Acrobate. Gustave Le Vavasseur : Moulins à vent. Robert de la Villehervé : La Loudière.
(1) L'exemplaire relié que nous utilisons est celui d'Hippolyte Devillers. Il avait fait relié la première année de La Jeune Belgique - à laquelle il collabora avec deux poèmes ; Nuit tombante et Epiphanie et une nouvelle ; La Tante Poulaine - avant la collection complète de la Poésie Moderne.
Concours, poèmes publiés : Paul Soullisse : A nos Soldats. De Amore. Hippolyte Daguet : Une Fonderie. Aux Lovelaces. Léon Riotor : Le Lion (1). De Perretti della Rocca : Amour et Caprice.
(1) Léon Riotor (1865-1949) fera ses débuts à Paris en 1883, fréquentant Montmartre et sa bohème littéraire. Léon Frapié dans la revue Le Sagittaire, n° 4, septembre 1900, témoigne de la précocité du poète lyonnais : « Depuis qu’âgé de quatorze ans, il donnait ses premiers vers au supplément littéraire du Petit Lyonnais, Léon Riotor n’a jamais cessé de produire. ». Il n'a que dix-sept ans lorsqu'il remporte, au concours de poésie de La Poésie Moderne une « mention exceptionnelle » pour « Le Lion, au dompteur Bidel », et une « mention honorable » pour « A Joséphin Soulary – A Léa ». Frapié ne signale pas cette participation parmi la très longue liste des journaux et revues auxquels Riotor collabora, il est vrai qu'il s'agissait d'un concours et que son nom ne figure pas dans les tables de la revue. A la suite de la signature de Riotor on peut lire : de l'Académie poétique de France. Paul Soulisse, lauréat du concours avec Hippolyte Daguet, fait parti lui aussi de cette Académie. L'Académie poétique de France fut fondée par Antonin Martin, à Bernis dans le Gard, elle avait un organe mensuel puis bi-mensuel : La Voix de la Patrie, revue à laquelle collabora Joséphin Péladan, il y tenait régulièrement une chronique parisienne, et où Paul Soullisse donna Matin de Mai, un poème dans le n° 69 de 1881. On trouve aussi dans cette revue des poèmes de Jean Sarrazin (Membre correspondant à Lyon), le père de Jehan Sarrazin, futur montmartrois et poète aux olives, ami de Léon Riotor (ils fonderont quelques petites revues, dont l'Union Littéraire de France). On peut lire dans La voix de la Patrie n° 70 du 31 novembre 1881, à la rubrique Varia : « M. Léon Riotor, membre correspondant, a été nommé secrétaire-perpétuel de l'Union littéraire de Lyon ; nos félicitations. » En 1880 Jean Sarrazin était rentré dans la cage aux lions de la ménagerie Pezon pour y lire ses vers, est-ce cet événement qui donna à Léon Riotor l'idée de son poème, Le Lion, qu'il dédie au dompteur Bidel ?
Le lion rugissait ; une bave écumante
Dégouttait de sa gueule ouverte et palpitante,
De sa queue avec force il se battait les flancs.
Une longue toison qui sur lui s'amoncelle
Venait couvrir alors sa terrible prunelle
Dont la pourpre sanglante aveuglait les tons blancs.
[...]
Sur Riotor, Jean et Jehan Sarrazin voir sur le blog de Cynthia 3000 : Jehan Sarrazin, poète aux olives. Jean Sarrazin, poète aux olives et aux lions. Sur Livrenblog : A Marée montante de Jehan Sarrazin. Léon Riotor. Les Phalanstériens de Montmartre. Léon Riotor par Fernand Clerget et Louis Lumet. sur l'Alamblog : La Vie : pipi, joujou, gaga, dodo (1889).
Bibliographies de revues dans Livrenblog :
Revue L'Image, bibliographie complète et illustrée.
Bibliographie de la revue Le Beffroi (1ère partie), (2e partie), (3e partie), (4e partie).
Bibliographie illustrée et complète du journal Le Pierrot (1ère partie), (2e partie), (3e partie), (4e partie).
La revue Palladienne de 1 à 10 .
Les Contemporains A. Le Petit F. Champsaur.
La Revue des Lettres et des Arts 1867-1868.
La revue Matines. 1897-1898.
Le Bambou, Bibliographie illustrée.
Le Carillon. 1893-1894
La Revue d'Art. 1896-1897.
Les Gerbes. Revue littéraire bimensuelle. 1905 - 1906.
Le Feu, Marseille, 1905-1906.
La Rose Rouge, 1919. Cendrars, Salmon, Carco.
La Revue Contemporaine, Lille. 1900 - 1902
Le Thyrse. 1897.
La Cité d'Art et L'Art et l'Action. 1898 - 1899.
L'Idée Moderne 1894-1895.
Le Nouvel Echo 1892-1894.
La Poésie Moderne, 1882.
La Basoche 1884-1886.
L'Aube Méridionale 1898-1899.
L'Élan littéraire 1885-1886.
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